Park life de Shuichui Yoshida


Présentation de l’éditeur :

Ce petit roman est une bouffée d’air pur dans la vie affairée et raisonnable des citoyens du XXIe siècle que nous sommes. Un air venu du parc de Hibiya à Tôkyô, où l’on pénètre sur les pas d’un jeune employé légèrement excentrique, et soudain « l’exhalaison de terre et d’herbe vous chatouille les narines ». Là, il croise une triathlonienne consommatrice de bains moussants, rencontre un vieil homme qui fait voler un capricieux aérostat rouge, rêve, médite, s’exerce à chambouler la perspective pour voir le monde autrement. Il arrive que s’y nouent des idylles, à peine plus tangibles que le bruissement des pigeons qui s’envolent. Ce récit a le charme des parenthèses qui s’ouvrent parfois dans la vie pour laisser entrer l’enchantement, comme un léger vertige de déraison. La ville n’est pas loin, les buildings cernent l’horizon, mais dans cet espace clos et protégé, se jouent les menues aventures qui donnent son goût unique à l’existence, la petite musique d’un grand parc au cœur d’une immense capitale.

Park Life a été couronné en 2002 du prix Akutagawa, le Goncourt japonais.

Mon  sentiment : 

J’ai lu ce bouquin sans conviction, sans intérêt aucun ; je l’ai lu parce qu’il a remporté le Goncourt du Japon. Je l’ai lu parce que j’avais déjà lu un autre ouvrage de cet auteur et je voulais aller plus loin. Je l’ai lu parce qu’une amie, japonaise de Nagasaki, m’a dit le plus grand bien de cet auteur né comme elle dans cette ville atomisée ll y a plus de 66 ans.

Mon souci est toujours le même avec les auteurs plébiscités : je n’arrive jamais à les lire.

Quand je m’ennuie avec un livre, je le pose dans un coin sans l’oublier. Alors il me jette un œil incendiaire et m’ouvre les bras pour me dire prends-moi, lis-moi.

Quelques fois je fais un détour pour l’ignorer, murmurant tu ne m’auras pas sans qu’il puisse l’entendre. D’autres fois je me secoue, me morigène, me disant que d’autres l’ont lu et fais son succès alors pourquoi pas moi.

L’avis du blog lecturissime bien différent du mien, un autre de les lectures de Mina egt quelques avis sur Babelio

Ce livre s’inscrit dans le challenge du dragon sur le blog de la culture se partage

6 réflexions au sujet de « Park life de Shuichui Yoshida »

  1. Je ne comprends pas pourquoi tu te forces à lire des choses qui ne te tentent pas alors qu’il y a des livres faits pour toi qui t’attendent !! Non mais vraiment tout ça parce que c’est un Goncourt japonais !!! 😆 Arrête de te faire du mal !!! 😀

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