Mon Cinema de quartier (tag)

J’avais envie de continuer ce tag lu ici et là et comme d’autres à partir de films vus, c’est quand même mieux. Il a fallu que je laisse mûrir les choses et que mon gogol favori me vienne un peu en aide.

tout d’abord roulement de tambour et après les coups de brigadier (Ah on n’est pas au théâtre ?) alors levée de rideau quand-même :

Voici les questions :

Si tu étais une ville : Un taxi pour Tobrouk

Tobrouk en Lybie

Un film sorti en 1961 avec des acteurs tels que Lino Ventura ou encore Maurice Biraud sans oublier Charles Aznavour, parmi d’autres.

L’action se situe en Afrique du Nord, en 1942 pendant la deuxième guerre mondiale.

Si tu étais un monument : Le pont de la rivière Kwaï

Encore un film sur le deuxième guerre mondiale, tourné en 1957. Un camp de prisonniers anglais, sous autorité japonaise, est affecté à la construction d’un pont en Asie.

Si tu étais un animal : Le chat

Signoret et Gabin à huis-clos, un monument du cinéma français récompensé au festival du film de berlin.

Si tu étais un conte ou une légende : Kirikou et la sorcière 

une production France, Belgique et Luxembourg

pour cette animation qui met en scène le tout petit Kirikou contre la méchante sorcière Karaba.

Si tu étais le jour ou la nuit : Les nuits fauves Bisexualité et sida mise en scène par Cyril Collard à partir de sa propre expérience. il décédera en 1993 un an après la sortie de ce film.

Un film qui fera connaître Romane Boringer, élevée par son père, parce que sa mère l’aura abandonnée à neuf mois, et que Ricahrd emmènera avec lui sur tous les tournages.

Et maintenant : Entracte avec Jean Mineur :

Puis nouvelle levée de rideau, la séance continue avec :

Si tu étais un (autre) homme : Les hommes préfèrent les blondes

Mais certaines diront que les brunes ne comptent pas pour des prunes.

Eh oui comment ne pas parler de Marilyn, cette bombe sexuelle responsable de biens des émois, qui a fait rêver bien des hommes et jalousée par bien des femmes.

Le 4 août prochain 50 années se seront écoulées depuis son étrange disparition qui fera encore couler beaucoup d’encre.

Si tu étais une (autre ) femme: le journal d’une femme de chambre

Les moeurs d’une bourgeoisie provinciale des années 30 vu par Luis Bunuel avec la fabuleuse Jeanne Moreau.

Si tu étais un jeu : Le jeu de la mort 

Avec le roi du kung-fu, mort lui aussi dans d’étranges conditions.

Un raz de marée dans les années 1970, la découverte des arts martiaux et un combat d’anthologie avec Chuck Norris dans le Colisée Bon d’accord c’était dans la fureur du dragon, mais on est dans l’année du dragon. Euh …!!!

Si tu étais un nombre : les douze salopards

Une brochette d’acteurs étonnante pour ce film de Robert Aldrich qui date de 1967. Le plus gros succès commercial de la MGM.

Lee Marvin, Ernest Borgnine, Charles Bronson, John Casavetes, Georges Kennedy, Robert Ryan, Jim Brown entre autres….Quelle distribution !

Si tu étais une profession : les tontons flingueurs

Lino Ventura, Bernard Blier et Francis Blanche dans une première collaboration de Georges Lautner et Miche Audiard qu’ils renouvelleront 12 fois de plus. Succulent !

« Les cons, ça ose tout. C’est même à ça qu’on les reconnaît.  »  un phrase culte de Lino Ventura, ou celle de Bernard Blier : « Non mais t’as déjà vu ça ? en pleine paix, y chante et pis crac, un bourre-pif, mais il est complètement fou ce mec ! Mais moi les dingues j’les soigne, j’m’en vais lui faire une ordonnance, et une sévère, j’vais lui montrer qui c’est Raoul. Au 4 coins d’Paris qu’on va l’retrouver éparpillé par petits bouts façon puzzle… Moi quand on m’en fait trop j’correctionne plus, j’dynamite… j’disperse… et j’ventile…  »

Si tu étais au bord d’un cours d’eau : La fille sur le pont  

La collaboration Patrice Leconte, Daniel Auteil et Vanessa Paradis : un régal.

Le synopsis : « Vous avez l’air d’une fille qui va faire une connerie », déclare l’homme qui s’approche d’Adèle, penchée sur le parapet d’un pont avec une grosse envie de noyer ses malheurs dans la Seine. Il s’appelle Gabor, il est lanceur de couteaux et il a besoin d’une cible. Adèle n’a jamais eu de chance mais, quitte à mourir, autant se rendre utile. Ces deux destins félés qui se rencontrent vont devenir les deux morceaux d’un numéro gagnant. Mais la chance c’est fragile, il suffit qu’Adèle et Babor se tournent le dos, fassent un pas l’un sans l’autre, et elle s’envole.

Voilà nous sommes au bout, je ne taguerai personne, chacun peut reprendre à son compte et librement ces questions. Pour l’instant je vais refermer le rideau :

Mais aussi avec Jim Morrisson, une autre page de ma vie.

6 réflexions au sujet de « Mon Cinema de quartier (tag) »

    1. ah oui seulement ! Pratiquement tous ces films sont passés à la télé au moins une fois.
      Je ne suis pas sûr que ce soit un film incontournable disons qu’il était dans la mouvance et la mort de Cyril Collard a fait monter le film en épingle.

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